Nou bon épi Violans
Chers Martiniquais, En cet instant, j’ai une pensée pour les nôtres, ces familles endeuillées, ces familles dont les cris fracassent les rues étroites de nos villages, s’abattant sur nos consciences telle la misère sur l’insensé. Ces familles dont l’espoir a cessé d’arpenter les artères…